Une nation ou les « indésirables » se défenestrent à l’arrivée de la police dans le lieu où ils ont trouvé refuge, et se tuent, me donne envie de lui dire adieu….
vendredi 28 septembre 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
L’imagination nous disperse et nous envoute. Seuls le temps et le récit, ces alliés essentiels, permettent de remonter le fil de nos pensées.
Une nation ou les « indésirables » se défenestrent à l’arrivée de la police dans le lieu où ils ont trouvé refuge, et se tuent, me donne envie de lui dire adieu….
Publié par Eugène Bricot à 22:32
Libellés : Flash d'humeur
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire