Face à l’océan, ce jour là, j’ai pu voir des vagues de trois mêtres. Je tentais de m’approcher du resac, mais il vallait mieux rester à distance. Quelques restes de Rita, au loin, de l’autre coté de l’atlantique.
La vague qui chut au loin avec fracas me dit de sa grosse voix : - « VIENT DONC TE BAIGNER ABRUTIIIiiii ». Tu parles !! Je restai loin. Il s’ensuivit un essorage à 2000 tour/min que je ressentis sur le sable vibrant jusqu’à la pointe de mes orteils.
Impressioné, je luis dis : - « Ca va pas non !! »
- « TROUILLARD… » Me dit la vague suivante avant de s’effondrer à nouveau
- « Ben oui, et alors ? » Tout penaud, que je lui répondais.
La suivante fut encore plus déterminée et je me suis senti vraiment en danger.
Alors je me suis tiré en vitesse à travers les dunes en me demandant ce qu’avaient bien pu raconter les américains aux vagues de Katrina pour venir me faire suer jusque ici !
jeudi 6 octobre 2005
Des vagues de 3 mêtres
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3 commentaires:
l'appel de la mer c'est terrible ! mais tellement dangereux ! Ces pauves américains comme tu dis, n'ont rien demandé !! et les vagues furent fatales pour eux... tel était leur destin !
Bon week end a toi..j'aurai plaisir de te lire de noveau lundi ! Bises
Dangereux quand il vient à nous, mais si apaisant quand nous allons vers lui ... l'océan ...
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